Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://milowlubh.blog-mall.com/34711676/les-sables-de-sel-hadra