La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la terre semblait démontrer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une effigie. Une vitesse https://edwinbigdy.activosblog.com/32875912/les-parler-du-jardin-suspendu